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La maladie coronaire atteint les artères nourricières du muscle cardiaque par la formation de plaques de cholestérol pouvant être à l’origine d’un infarctus du myocarde. Elle est dite prématurée lorsqu’elle survient avant l’âge de 45 ans. Son pronostic est sévère puisqu’un patient atteint sur trois présente un nouvel événement cardiaque et un sur cinq décède à 10 ans.
Cette étude vise à décrire la fréquence d’une prolifération incontrôlée de cellules de l’immunité et son rôle dans l’évolution péjorative de la maladie. Son implication permettrait d’identifier les patients les plus à risque refaire un infarctus et constituer une base pour le développement de nouveaux traitements visant l’inflammation.
Ghilas RAHOUAL, Paris
