Projets

Chaque année, de multiples appels à candidatures sont proposés pour soutenir des travaux de recherche clinique et translationnelle et visant à faire évoluer les pratiques de soin et d’accompagnement. Ces appels à candidatures concernent des études sur des sujets émergents ou des projets d’amorçage (12 à 18 mois).

Pour participer à valider des concepts, les projets

La recherche médicale peut être vue comme une chaîne qui part de la recherche fondamentale, focalisée sur la compréhension des mécanismes biologiques, et qui doit aboutir à l’application concrète du soin au bénéfice du patient, la recherche appliquée. Dans cette chaîne, le rôle de la recherche médicale appliquée est d’être le pont entre toutes les connaissances théoriques et leur traduction concrète pour le patient : prévention, diagnostic, soins cliniques, accompagnements médico-sociaux.

Chaque année, ce sont en moyenne 35 à 40 projets retenus, sur une moyenne de 150 candidatures reçues, qui bénéficient d’un soutien de la Fondation de l’Avenir. La sélection se base sur une expertise scientifique indépendante. Cette expertise se fonde sur un réseau externe de centaines de bénévoles, plus de 200 experts indépendants ont été mobilisés en 2024. Le classement des candidatures expertisées est assuré par le conseil scientifique de la Fondation de l’Avenir, qui est constitué de 15 à 21 représentants de toutes les disciplines, en établissements publics et privés, sur tout le territoire français. Le soutien aux projets est ensuite validé par décision du directoire de la Fondation.

Etapes-Appel à projets recherche medicale appliquee-Fondation de l Avenir

Marqueurs forts de la campagne 2024 :

75 %

des lauréats ont moins de 45 ans

75 %

des lauréats sont des médecins et chirurgiens

pour 10,71% de chercheurs en biologie

En termes de répartition géographique et de nature d’établissement porteur, on retrouve une très bonne représentativité des soutiens dans les territoires : 57% des porteurs de projet mènent leur recherche hors Ile de France. Également, on observe une bonne répartition entre les Centres Hospitaliers Universitaires (CHU) et les autres établissements publics à caractère scientifique ou privés non lucratifs (ESPIC).